Les Aigles de Carthage ont fait vivre des bas et des hauts à leurs supporters lors de la première quinzaine de la CAN 2021. Une défaite rocambolesque devant le Mali (0-1), un succès très maitrisé face aux Mourabitounes de Mauritanie (4-0) et ouus à nouveau un échec face à la Gambie (0-1) avec un groupé vidé de ces cadres par le satané COVID-19. Au lendemain d’une qualification à minima, le moral n’était pas au beau fixe. Jusqu’à ce remarquable match remporté contre le Nigeria (1-0) en huitème de finale. Pourtant, les Super Eagles qui avaient plané sur leur groupe en étant la seule équipe du tounroi a remporter ses trois matches se sont dilués face à une équipe tunisienne qui avait subtement retrouvé solidité et efficacité.
Un des témoins de ce retournement, Ali Selmi, adjoint du sélectionneur Hanry Kasperzack lors du Mondial 1998, refuse que. certains puissent parler d’un succès miraculeux pour la Tunisie : «Si certains pensent que la victoire de la Tunisie devant le Nigeria relève du miracle, a confié le natif de dans un entretien publié par le quotidien tunisois La Presse, pour moi, le football n’est pas une science exacte et me revient alors à l’esprit la victoire remportée en 1977 devant ce même adversaire à Lagos même, sur le score de 1-0. Une victoire qui a balisé notre route pour le Mondial argentin. Et puis la sortie de l’Algérie dès le premier tour et la difficulté rencontrée par le Cameroun, grand favori du tournoi, qui a piétiné devant les Comores, en disent long sur les imprévus du football en Afrique. En ce qui nous concerne, le Nigeria ne nous a pas posé le moindre problème3. En clair, on a l’impression que pour l’ancien manager de La Marsa ( entre 1975 et 2009) d, les palnètes s’alignent pour les Aigles de Carthage.
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