Arrivé dans les rangs d’Al Ahly du Caire en 2017 en provenance du CS Sfaxien, le défenseur latéral gauche tunisien, Ali Maaloul, a connu tous les succès domestiques avec son nouveau club, mais il manquait à son palmarès la reine des compétitions, la Ligue des champions d’Afrique. C’est désormais fait depuis le 27 novembre et ce succès indiscutable face à l’ennemi intime, le Zamalek (2-1).
Dans un long entretien accordé à une télévision régionale, l’Aigle de Carthage est revenu sur son parcours: » Après avoir été blessé lors du match aller de la demi-finale de Ligue des champions contre le Wydad Casablanca, j’ai tout donné pour participer au match retour, a-t-il confié au micro de Ontime Sport TV, je voulais jouer contre le Wydad au match retour, mais ma blessure à l’adducteur m’en a empêché. Disputer la finale de la Ligue des champions était un rêve depuis que j’ai rejoint Al Ahly il y a quatre ans. Surtout lorsqu’on sait que je n’ai pas pu participer aux finales 2017 et 2018. Ma participation était donc un bon augure pour l’équipe et nous avons remporté le titre contre une grande équipe comme Zamalek ».
L’homme aux 56 sélections tunisiennes a rappelé que ses coéquipiers et lui avaient fait la promesse à leurs fans d’une victoire en LDC juste après la cinglante défaite subie en quart de finale un an plus face aux Sud-africains du Mamelodi Sundowns entraînés par un certain...Pitso Mosimane. Ce dernier est aujourd’hui l’homme fort du banc des Red Devils. Par ailleurs, Maaloul n’exclut pas l’idée de prolonger le contrat qui le lie au Ahly jusqu’au 30 juin 2022.
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