Passé en aout dernier du Spartak Moscou où il n’a pas été spécialement performant – 6 buts en 36 matches toutes compétitions confondue à Al Gharafa, un club du top 6 de la Qatar Stars League (QSL), le milieu international algérien avait besoin de se relancer. Même s’il a choisi de le faire dans un championnat inférieur à ceux qu’il a connus auparavant en l’occurrence la Jupiler Pro League belge et la Premier Liga de Russie.
Après sept mois d’activité au Qatar, le natif d’Ivry-Sur-Seine en région parisienne a fait le point sur sa nouvelle expérience : » En général, cela a été positif pour moi, a-t-il confié au site officiel de la QSL bien sûr, je veux donner plus, mais comme c’est ma première saison, je peux m’estimer satisfait. Évidemment je fais tout pour être toujours être meilleur, d’autant plus que la saison n’est pas encore terminée (il restent effet cinq journées à disputer). En tant qu’équipe, nous sommes quatrièmes maintenant, nous pouvons donc être satisfaits. Même si nous sommes tristes d’avoir perdu de nombreux points ».
Invité à commenter le niveau de la Qatar Stars League, l’ancien champion de Belgique avec Anderlecht ne semble pas déçu du niveau qu’elle propose: » Ce n’est pas une compétition facile. Comme je le dis toujours, si vous arrivez iici avec une idée que les choses seront faciles sans travail, sans effort, vous perdrez. Nous devons donc bien nous préparer et nous devons nous concentrer davantage pour gagner des matches dans cette ligue qui comprend de nombreux bons joueurs ». Il faut dire que s’il n’a pas encore retrouvé le niveau qu’il avait durant ses années belges l’intégration du milieu offensif a été toutde même facilitée par les présence à ses côtés de son coéquipier de l’équipe d’Algérie, Adlène Guedioura. Toutefois, s’il souhaite retrouver à terme une place dans le groupe des Fennecs, sacrés champions d’Afrique sans lui en 2019, Hanni a intérêt à mettre les bouchées doubles.
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