Au lendemain de sa signature d »un contrat dune année sans option avec Al-Raed, un club du ventre mou de la Saudi-Pro League, l’entraîneur suisse d’origine kosovar s’est exprimé sans détour pour expliquer les deux raisons qui l’on poussé à relever ce défi, lui qui n’a jamais quitté l’Europe en tant que joueur comme en tant que coach : l’inactivité imposé depuis une an et l’offre financière inespérée: « Cela avait a commencé à démanger. Il y avait des offres, mais j’ai senti que ce n’était pas le moment plus tôt cette anné. « Il n’y a pas longtemps, Al-Raed a fait une proposition et j’ai décidé de relever le défi. Le déménagement vers un autre continent ne me fait pas peur., a-t-il confié au journal belge Het Laatste Nieuws, le seul inconvénient est que je dois laisser ma femme et mes enfants derrière. Mais dans la vie, vous devez faire des choix. Peut-être même donner: j’ai signé pour un an, sans options ».
Sans chiffrer l’offre financière qui lui a été offerte par Al-Raed, l’ancien entraîneur d’Anderlecht laisse entendre qu’elle ne pouvait pas se refuser : » Je ne veux pas non plus tourner le pot: financièrement, c’est beaucoup plus intéressant pour moi. Je ne serai jamais capable de gagner quelque chose comme ça en Belgique » ajoute Hasi. Sur le plan purement technique, le natif de Dakovica estime que le championnat saoudien n’est pas si mauvais comme certains peuvent le penser alors que son président lui a demandé de finir parmi les huit premiers: « La compétition saoudienne devient également plus professionnelle. De plus, les équipes peuvent attirer plus d’étrangers, alors vous voyez que certaines stars comme Nordin Amrabat ont fait la transition vers cette compétition. Que les stades sont pleins à chaque fois est aussi un bon bonus ». Un challenge qu’il se dit dit prêt à relever.
@Cheikh Mabele