Après avoir demandé publiquement des comptes à Mohamed Raouraoua, président de la Fédération algérienne de football, il semblerait que le ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali, ait effectué un rétropédalage sous la pression du premier ministre .Au nom de l’intérêt national: » Comment peut-on descendre en flammes dans la presse un homme qui est le candidat de l’Algérie au comité exécutif de la CAF, aurait pesté Abdelmalek Sellal, le chef du gouvernement selon des propos rapportés par le quotidien algérois Liberté, au lieu de le soutenir, vous faites tout pour provoquer un échec. La priorité désormais est d’assurer ce poste à la CAF, car il y va de l’intérêt du pays, on verra plus tard pour les élections de la FAF ». Cette réaction est aussi dictée par la peur de l’intervention du gendarme FIFA dans les affaires nationales. la chose dont a le plus horreur le pouvoir algérien : « Pas question que la FIFA fourre son nez de nouveau dans cette affaire, c’est une question de souveraineté nationale. Il faut faire tout pour que cela ne se produise pas. Il faut du reste reprendre langue avec Raouraoua et tracer une feuille de route à ce sujet”. Tancé, le responsable du sport algérien s’est contenté d’affirmer qu’il n’a pas de avec le patron du football algérien.
@Cheikh Mabele