Nommé entraîneur après le limogeage de Hein Vanhaezebrouck, Karim Belhocine a signé son premier succès après seulement deux matches. Anderlecht qui restait sur sept matches sans victoire s’est imposé sans coup férir devant Beveren (3-0). Avec la manière en sus. Le technicien franco-algérien ne sait pas encore s’il sera maintenu à la reprise des entraînement le 7 janvier mais l’ancien adjoint savoure d’avoir relancé son équipe de coeur et explique comment il l’a fait : « Faire des choix, c’est mon job. On peut parler de choix forts aujourd’hui, a-t-il confié au quotidien La Dernière Heure, j’avais dit au groupe que tout le monde repartait de zéro avec moi et on l’a bien vu. J’ai mis ceux qui avaient envie d’aller dans les duels sans se retirer. On a bien suivi le plan et c’est vraiment du bonheur en tant que coach ». Le natif de Vénisseux dans le Rhône a également eu le mérite d’avoir sorti de l’ombre deux joueurs, Kayembe et Appiah, les deux heureux revenants dans la groupe des Mauves. En étant très bons, il lui ont montré qu’ils avaient mérité sa confiance.
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