La nomination de Djamel Belmadi a été enregistré avec une grosse satisfaction par la plupart des observateurs du football algérien, mais aussi par l’opinion sportive qui a du respect pour le parcours volontaire et brillant du natif de Marseille.
S’il ne s’est pas encore exprimé de façon officielle – son contrat sera paraphé le 14 août prochain – l’ancien entraîneur d’Al-Duhail a néanmoins accordé un cours entretien à un confrère algérois dans lequel il a évoqué sa fierté mais aussi le sens de la responsabilité : « Après le sentiment de fierté, tout de suite après il y a le poids de la responsabilité de faire en sorte, en tant que premier responsable technique de cette équipe nationale, de la relever et de la faire «renaître » a-t-il confié au site competition.dz
Avant de poursuivre : « on voit la situation dans laquelle on est depuis quelques années maintenant. Je pense que le mot renaître n’est pas exagéré. Donc, faire renaître cette équipe nationale avec la participation de tout le monde, à savoir tous les acteurs du football. c’est vraiment une très grande fierté de pouvoir diriger cette équipe nationale avec toute son histoire. Etre un coach parmi tous les entraîneurs et sélectionneurs qui ont pu la diriger et la driver, notamment avec tous les succès que l’on sait, en faire partie est une fierté. Fierté, c’est vraiment le premier mot qui me vient à l’esprit ».
Une chose est sûre, le nouveau boss des Fennecs n’aura que tous semaines pour préparer le onze qui ira défier la Gambie le 6 septembre à Banjul dans le cadre de la deuxième journée des éliminatoires de la CAN 2019.
@2022mag.com