C’est avec un brin d’humour que le sélectionneur de l’Egypte, Hector Cuper,a commenté le sort réservé à son équipe par le tirage effectué mercredi à Libreville: “ Le résultat du tirage est positif, en particulier parce que nous jouons le 17 janvier dans une ville ( ) par beau temps et dans un excellent stade, a-t-il confié avec un brin de malice sur le site de la Fédération égyptienne de football (EFA), mais en même temps, il ne l’est pas parce que nous somme tombés dans le groupe D avec des équipes comme le Ghana, l’Ouganda et le Mali”. En quelque sorte c’est l’image d’une bouteille jugée à moitié pleine par certains et a moitié vide par d’autres. Inévitablement interrogé au sujet du Ghana, principal adversaire des Pharaons dans trois mois, le technicien uruguayen a répliqué que son esprit était plutôt tourné vers le 13 novembre date de la réception des Black Stars dans le cadre des éliminatoires du Mondial 2018:” je joue chaque match en tenant compte de la spécificité du tournoi”. En clair, le Ghana version CAN 2017 n’aura peut-être rien à voir avec le Ghana version Mondial 2018.
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