Dans cette deuxième partie du bilan de la CAN nous évoquons celui du Maghreb, le succès populaire ou pas et les tops et flops de la compétition qui a réuni pour la première 24 équipes au coeur de l’été
La place du Maghreb
On ne peut pas faire le bilan de la CAN 2019 sans faire celui de la participation du Maghreb, ce chaînon fort du football continental. Il faut d’abord rappeler que l’Egypte était la dernière équipe a remporter le titre continental, c’était en 2010 en Angola et la dernière également a atteindre la finale et c’était i y a deux ans au Gabon. Cinq équipes d’Afrique du Nord étaient présentes au Caire. L‘Egypte, pays organisateur, Algérie, Tunisie, Maroc, des habitués de la grand messe continentale et la Mauritanie dont cétait une première historique.. Au final, le bilan est plus qu’honorable grâce au sacre de l’Algérie, qui a glané son deuxième titre après celui obtenu en 1990 et à la place en dmi-finale de la Tunisie malgré un parcours chaotique . Car pour finir si haut, las Aigles de Carthage n’ont eu besoin sue d’un seul succès en sept matches: celui remporté face à Madagascar (3-0) en quart de finale. Par ailleurs, l’Afrique du Nord a laissé sur le bord de la route les deux ténors que sont le Maroc et surtout l‘Egypte grande favorite de la 32e édition. Les deux équipes ont abandonné leur ambition au stade des huitièmes de finale De son côté, la Mauritanie a fait de son mieux. En effet, après voir bu la tasse face à un belle formation malienne, les Mourabitounes on accroché la Tunisie (0-0) et le Mali (1-11). Marquant ainsi leurs deux premiers points dans une phase finale .
Public, stades et ambiance
La présence du public dans les stades est un sujet qui revient invariablement sur la table lorsqu’il s’agit d’évoquer la popularité de l’événement continental . Et la 32e édition n’a pas échappé à la règle. Dans une CAN, l’équipe du pays organisateur est la seule à drainer les foules. Un fait valable aux quatre coins du continent . Que ce soin au Nord, à l’Ouest , à l’Est ou au Sud. La prime va au pays d’accueil. Les quatre matches disputés par les Pharaons , trois au premier tour et le huitième de final – ont fait le plein. Près de 100 000 spectateurs à chaque fois. Mais on était très loin du compte dans les autres sites. Des tribunes désespérément vides et au mieux parsemées de quelques centaines de spectateurs. Une misère indigne d’un événement international proposé par un continent présumé passionné de football. Heureusement, qu’il y eut ce coningent de supporters algériens de plus en plus fourni au fur et à mesure que les Fennecs avançaient dans la compétition. Ils étaient 20 000 venus d’Algérie, d’Europe et d’ailleurs ppur accompagner le formidable succès de leur équipe . Grâce à eux, l’ambiance de la finale contre le Sénégal a pu ressembler à quelque chose de digne d’un événement de dimension internationale .
Sportif : tops et flops
Question performances, il y eut quelques belles surprises rendues possibles grâce au passage à un format à 24 équipes . Nous pensons avant tout à Madagascar qui a réussi pour sa première participation à une phase finale à atteindre les quarts de finale avant de tiomber sur une équipe de Tunisie très expérimentée . Madagascar a apporté de l’enthousiasme , de la fraicheur, de l’audace et de l’insouciance. Tout comme le Bénin qui a bousculé tous les adversaires qu’il a croisés.Y compris le Maroc d’Hervé Renard qu’il é éliminé en huitièmes de finale au bout d’une sérance de tirs au but historique . L’Ouganda est l’autre équipe à avoir tenu ses promesses en bousculant les meilleurs, Y compris l’Egypte lors du premier tour. Les flops ont les trouve dans la famille des présumés leaders et favoris. Le Maroc, qui après une premier tour très abouti, s’est laissé surprendre comme un débutant par le Bénin. Des Lions de l’Atlas un eu trahi par la méforme de ess grandes individualités . Idem ppur le Ghana qui n’arrive plus a renouer avec son passé glorieux