Le technicien français, dont c’était la première participation à une compétition CAF, a évoqué sa déception, pondérée par l’écart de niveau réel entre les Mourabitounes et le Maroc. Verbatim.
« On est toujours dans la déception quand on perd. EN première mi-temps, on a tenu sur la solidarité. On deuxième, on a essayé de changer le système de jeu en ajoutant plus de présence devant, en passant en 4-4-2. C’est un résultat logique compte tenu de la qualité des joueurs en face de nous. Ce sont pour la plupart des éléments qui ont joué des compétitions africaines et gagné pour certains la dernière Ligue des champions. Elle est là, la différence entre eux et nous. Sur le premier but qu’on encaisse alors qu’on n’était que dix sur le terrain, avec un joueur qui demandait à rentrer, il n’y a pas grand-chose à dire… J’aurais préféré qu’on soit à onze. C’est un fait de jeu. Ce n’est pas ça qui a fait la différence. Il y avait trop d’écart avec ce Maroc. On n’est pas parvenus à les contrer pendant plus de 45 minutes. C’est naturellement une déception pour les joueurs et le peuple mauritanien. Mais il nous reste encore deux matches pour espérer. »
@Samir Farasha, à Casa