C’est comme une implacable logique de voir l’Algérie, le pays hôte, et le Sénégal, sans doute l’un des meilleurs footballs sur le continent, se retrouver en finale de la 7e édition du Championnat d’Afrique des nations.
Une finale inédite dans cette catégorie mais qui rappelle singulièrement celle qui avait opposé les deux pays lors de la finale de la Coupe des nations 2019 en Egypte.Avec un succès difficile des Fennecs
Sous la direction de l’arbitre gabonais Pierre Ghislain Atcho, les deux formations entrent dans leur match sans salamalecs mais déjà dans le vif. Les Sénégalais sont le premiers à porter la menace dans le camp algérien et montrent qu’ils ont l’intention de rester insensibles aux grondement puissants des 40 000 spectateurs tous acquis à la cause algérienne.
Cela se manifeste par une première frappe de Mbaye, de la tête, pas cadrée, sur un centre au cordeau venu de la droite. Les Fennecs répliquent par Bakir (9′) mais son ballon s’en va dans les décors sans inquiéter le longiligne gardien des Lions.
Ces derniers ont clairement décidé de presser haut et de repousser les protégés de Bougherra dans leur camp. Ces derniers ne montrent l’allant et l’organisation collective de leurs cinq premiers matches La pression est clairement sur les locaux qui ont plus à perdre devant leur public.
Mais s’ils ont la maîtrise du territoire, si leurs contres sont plus rapides et plus incisids notamment sur le côté gauche tenu par…, les Jaune et Vert ont dû attendre la 25e minute pour acter leur occasion la plus dangereuse pour le gardien algérien Alexis Guendouz.
Un centre acéré de Diallo est attaqué par Mbaye dans la surface mais le Lion est devancé par l’athlétique et vigilant axial Ayoub Adellaoui qui balance en corner.Trois minutes plus tard, c’est au tour de se montrer dangereux sur un coup franc des 30 m qui passe de peu sur le côté gauche des buts de Guendouz.
Rien ne sera marqué et cette première priode valut surtout par l’intensité du jeu,le stress provoqué par l’indécision et le bruit et la fureur descendant des tribunes du Nelson Mandela Stadium
Le dernier quart d’heure de la première période est globalement en faveur du Sénégal qui prive par moment son adversaire de ballons. Mais globalement cette possession n’est pas payante car si le milieu algérien flotte et se disperse parfois la défense est costaude et un peu aidée par le manque de perspicacité sénégalaise à,l’approdhe des buts de Guendouz.
Rien ne sera marqué et cette première période qui valut surtout par l’intensité du jeu,le stress provoqué par l’indécision et le bruit et la fureur descendant des tribunes du Nelson Mandela Stadium
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