Il semblerait – d’après les confidences des acteurs eux-mêmes – que l’arrivée de l’entraîneur Nabil Kouki pour remplacer Daniel Sanchez s’est faite sur un coup de coeur pour ne pas dire sur un coup de tête. Lors de sa séance de présentation a la presse, le nouveau coach à expliqué les conditions de son arrivée: « Il était prévu que je passe deux jours en Tunisie pour des raisons familiales. Les dirigeants d’Al Hilal savaient que j’avais besoin de rentrer dès que l’occasion se présentait. J’ai constaté que je ne pouvais plus rester loin du pays. Je tiens à présenter mes excuses au président, aux joueurs et aux supporters de l’équipe, qui, je tiens à le rappeler, est à une victoire du titre de champion et toujours engagée en coupe du Soudan ». Avec un tel aveu on peut imaginer que le club soudanais é été mis devant le fait accompli” alors que la saison n’est pas terminée. Un scénario confirmé implictement et maladroitement par le club tunisois: « Nous suivions Kouki de près et nous ne l’avons pas recruté sur un coup de tête, a expliqué le directeur exécutif Khalil Mahjoub, Il y a eu un contact à un certain moment puis nous l’avons recontacté cette semaine ». Par ailleurs, en dépit des conditions alambiquées de son départ, le Français Daniel Sanchez, licencié, selon ses dires “ par téléphone”, âprès avoir amené le CA vers le titre national, n’a pas surenchéri et à même souhaité bon vent à la formation de Bab Jedid.
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