En l’absence de ses cadres retenus par la participation de la sélection nationale àa la Coupe d’Afrique des Nations au Cameroun, Al Ahly du Caire a dû affronter le calendrier de la Coupe d’Egypte avec un effectif rajeuni et des joueurs revenus de blessures ou guéris du COVID-19. Conséquence, une élimination sans gloire conclue par une déblacle lors du dernier match face à Smouha (0-3). Une rareté dans l’histoire de la particpation des Red Devils à cette compétition.
Après l’échec, l’entrâineur Pitso Mosimane, qui avait pu disposer rout de même de quelques ténors dans son équipe – Percy Tau, Mohamed Magdy Afsha, Hussein El-Shahat et Taher Mohamed Taher – s’est expliqué : » Il n’y a pas d’excuses, a-t-il confié en conférence de presse, mais nous avons des joueurs qui ont contracté le Covid-19, en plus de quelques autres qui sont revenus en méforme de la Coupe arabe des nations FIFA. Sans oublier que beaucoup de nos joueurs de la Coupe d’Afrique des Nations ont subi de graves blessures ».
Dans l’esprit du technicien sud-africain, c’est déjà du passé. Ce qui le préoccupe le plus, c’est la prochaine compétition qui arrive à grands pas et dont l’importance pour le club sur tous les plans (prestige, finances) n’est pas à démontrer : » C’est une situation difficile, bien sûr, et nous avons neuf jours avant la Coupe du monde des clubs. J’espère que tout le monde sera de retour et en pleine forme. Ul ne faut pas oublier que ceux qui sont revenus après avoir contracté le Corona ont perdu beaucoup de poids ». Il faut rappeler que si les Pharaons ont la bonne idée d’aller jusqu’en finale de la CAN, ils ne pourront revenir au Caire que le 7 février. Alor que le Mondial des clubs organisé par les Emirats arabes unis débutera le 2 février. Al Ahly entrera dans la compétition face aux Mexicains de Monterrey le 5 février au stade Al Nahayn d’Abu Dhabi.
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