Tenus en échec en déplacement en Angola (2-2) puis victorieux à domicile face au Gabon (2-1) et qualifiés pour les barrages, les Pharaons ont laissé une impression mitigée sur le plan du jeu et de la manière. Comme une baisse de régime en comparaison des trois premiers matches disputés sous la houlette du nouveau sélectionneur portugais. Mais ce dernier est plus confiant qu’une partie des médias et de l’opinion égyptienne. Et il s’explique faits et chiffres à l’appui : « Nous avons joué quatre matches, gagné trois et fait match nul une fois, a confié Carlos Queiroz en conférence de presse, les joueurs méritent d’être félicités’.
Dans la foulée, le natif de Nampula demande aux observateurs d’avoir un peu de patience et qu’on lui laisse le temps de trouver la meilleure formule et de constituer le bon groupe appelé à vivre une longue et importnate aventure : « Il n’est pas facile de trouver la meilleure combinaison, a poursuivi le technien portugais, nous essayons toujours de nous améliorer. Aujourd’hui, nous avons dû nous passer de quatre joueurs à cause de blessures ou de cartons jaunes et c’était l’occasion d’essayer d’autres joueurs. En tant qu’entraîneur, j’en ai 23 et j’espère avoir 30 joueurs. Il est de mon devoir de leur donner confiance. Il y a quelques semaines, personne ne pouvait imaginer que certains joueurs comme Ahmed Yassin, Marwan Hamdi ou Emam Ashour seraient dans l’équipe. Aujourd’hui, vous les avez vus sur le terrain ».
Une chose est certaine, l’ancien sélectionneur de l‘Iran et du Portugal ne va pas chmomer les prrochaines semaines. Avec dès le 1er décembre la Coupe arabe des narions FIFA prévue au Qatar puis début janvier 2022 la phase finale de la CAN au Cameroun. Un sacré porgramme.
@Cheikh Mabele