L’Arabie saoudite file un train d’enfer sur la voie qui mène à la Coupe du monde 2022 et qui passe par une troisième phase de qualification haut de gamme. Versés dans le groupe 2 avec des pointures à l’image de l’Australie et du Japon, deux habitués des phases finales de Mondial, les Faucons Verts n’ont pas cherché à musarder. Ils font tout très bien depuis le début de la compétition dont ils occupent la première place avec quatre longueurs d’avance sur les Nippons et cinq sur les Socceroos australiens à quatre journées de la fin. Oman, quatrième a neuf points, n’est pratiquement plus concernée par les deux première places directement qualificative.
Mais que l’on se ‘y trompe pas, pour atteindre ce résultat largement postif, les protégés de Hervé Renard ont été plus solides avec seulement trois buts encaissés en six journées que brillants. Leurs plus gros score ont été obtenus à l’extérieur devant le Vietnam (3-1) le 2 septembre puis le 12 octobre à domicle contre la Chine (3-2). Autrement, les Saoudiens ont su faire court, simple mais très utile. En gagnannt 1 à 0 à Oman le 7 septembre et avec le même score au Vietnam. Leur dernier gros coup date du 11 novembre lorsqu’ils ont su contenir les assauts de l‘Australie à Sydney. Un 0-0 qui ressemblait presque à une victoire. En attendant le match retour qui est aura lieu le 29 mars à Riyadh lors de la dernière journée des éliminatoires Mais ce jour-là , les Faucons Verts entreront peut-être sur la pelouse en ayant déjà leur billet pour Doha en poche.
Cependant, il faut reconnaître que le premier grand tournant de la campagne négocié par les représentants du royaume des Saoud a eu lieu le 7 octobre, jour de la réception du Japon. Il faut dire que le selectionneur Hervé Renard, meneur d’hommes madré, qui a fait ses preuves en Afrique en remportant deux CAN à la tête de deux équipes différentes ( Zambie puis Côte d’Ivoire), avait trouvé les mots pour encourager son groupe avant l’entame du choc face aux Nippons.
C’est dans un King Abdulla Sports City stadium de Djeddah quasi plein que les hommes du Français Hervé Renard on mis à terre des Nippons très mal partis dans cette compétition puisqu’ils subissaient -là leur seconde défaite après un échec à domicile en septembre devant Oman (0-1). Dans un match dans l’ensemble équilibré en matière d’occasions, les gardiens de but, Shuishi Gonda pour le Japon et Mohamed Al-Owais pour l’Arabie saoudite ont multiplé les exploits pour décourager les attaquants. C’était le vraiment premer tournant dans la campagne de l’équipe mondialiste en 2018.
Il faut reconnaître que le premier grand tournant nécocié dans cette campagne par les représentants du Royaume des Saoud a eu lieu le 7 ocrobre, jour de la réception du Japon. Il faut dire que le selectionneur Hervé Renard, meneur d’hommes madré, qui a fait ses preuves en Afrique en remportant deux CAN à la tête de deux équipes différentes ( Zambie puis Côte d’Ivoire), avait trouvé les mots pour encourager son groupe avant l’entame du choc face aux Nippons.
Le natif d’Aix-les-Bains a su en effet insister sur un état des lieux plutôt largement favorable à son groupe: « C’est un match très important pour nous et notre motivation est plus forte avec la présence de nos 60 000 fans, avait alors confié Hervé Renard lors du point presse d’avant match. je ne suis pas inquiet pour le rendez-vous malgré la perte de deux de nos meilleurs joueurs (dont le créateur Salem Al-Dossari) mais nous devons le gérer avec un bon état d’esprit. Nous sommes fiers de notre participation et de notre présence à ce stade, où nous sommes actuellement à la deuxième place de notre groupe et nous restons invaincus depuis sept matches ». Un discours qui a fait mouche.
Rusé , Hervé Renard avait tressé des louanges aux Japonais en les installant de facto dans la position du grands favoris du match et de la poule : » Nous sommes bien préparés pour ce match. J’espère que les joueurs pourront le disputer comme une finale et offrir la meilleure performance possible. Il ne fait aucun doute que le Japon est la meilleure équipe d’Asie, et j’espère que toute l’équipe aura le courage de défier ce puissant adversaire ». Pour finir en beauté, il reste aux coéquipierrs à aller chercher à minima un match nul le 1er février à Saitama face à ses mêmes japonais et faire en sorte de les maintenir derrière eux au classement. C’est-à-dire deuxièmes ou troisièmes.
@Chehat Fayçal