La semaine dernière fut riche en bonnes nouvelles pour Nasser Al-Khelaifi. Le président du Paris SG a vu son équipe dominer Manchester United (2-0) en huitième de finale aller de la Ligue des champions, être élu au bureau exécutif de l’UEFA et surtout il a vu la menace de sanction du fair play financier s’éloigner après le jugement favorable du Tribunal arbitral du Sport (TAS) en faveur du Galatasaray. Dans une affaire comparable à celle du Paris SG.
Interrogé sur ce sujet, le boss du club francilien affirme avoir toujours été serein contrairement au inquiétudes véhiculées par les médias français et européens : « Il n’a jamais été question d’inquiétude au sein de notre club, a-t-il confié dans un entretien exclusif accordé au quotidien régional Le Dauphiné, suite à l’ouverture d’une procédure par l’UEFA en septembre 2017, sous la pression d’un dirigeant espagnol qui a peut-être craint alors pour ses intérêts personnels, nous avons répondu point par point à toutes les questions de nos interlocuteurs. Nous avons participé à ces échanges réguliers dans la plus grande transparence et avec le plus grand sérieux apporté à nos réponses. Soyez-en sûrs, notre club est géré avec le plus grand professionnalisme. Si tel n’était pas le cas, les plus grands joueurs du monde ne souhaiteraient pas venir chez nous. Et ils n’y seraient pas aussi épanouis qu’ils le sont aujourd’hui ».
Evidemment, la cerise sur la gâteau serait une victoire finale en Ligue des champions qui couronnerait les sept années d’efforts de QSI qui ont fait du club parisien l’une des Formules 1 de la scène européenne.