Trois mois après la démission du sélectionneur Christian Gourcuff, les Fennecs attendant toujours le nom de son successeur. Mais il ne sera pas connu avant la mi-juillet, c’est-à-dire à la fin du Ramadan. Une chose est sûre pour des raisons budgétaires, la Fédération algérienne de football ne compte pas faire dans la démesure. C’est ce qu’elle a expliqué dans un communiqué à l’issu de la réunion de son bureau exécutif. “. Les techniciens de très haut niveau sont excessivement chers. Les responsables de la fédération prendront leur temps pour trouver l’entraîneur qui permettra à l’équipe nationale d’atteindre ses objectifs. Le recrutement du futur sélectionneur national dépendra aussi du tirage au sort des éliminatoires de la Coupe du monde 2018 prévues ce vendredi 24 juin au Caire” Les touches avec certains noms ronflants tels l’Italien Cesare Prandelli voire le Turc Fathi Terim n’ont pas eu de suite, car la FAF ne semble pas prête à débourser des salaires mensuels de l’ordre de 150 000 euros voire beaucoup plus au risque mettre ses finances en danger et surtout de donner un mauvais signal à l’heure où la crise économique impacte beaucoup de monde dans le pays.
@cheikhmabele