Le Bahreïni Cheikh Salman , candidat à l’élection présidentielle de la FIFA, a évoqué son plan pour l’institution basée à Zurich. En cas de victoire le 26 février 2016, il s’attelera à réformer la gouvernance en créant une entité chargée de l’organisation des événements et des compétitions et une autre strictement consacrée à la gestion financière et commerciale. Cette nouvelle structuration étant la seule selon lui en mesure d’assurer “la mise en place de mécanismes de contrôle rigoureux” notamment en faisant appel à une expertise extérieure: “ nul n’a besoin d’avoir un pedigree de footballeur pour s’occuper de la gestion de la FIFA”, a-t-il précisé dans un communiqué rendu public mercredi soir. Pour le patron de la Confédération asiatique de football, les affaires de justice en cours qui concerne une quarantaine de personnes ne doivent pas jeter l’opprobre sur l’ensemble du personnel : “ la FIFA, ce sont 400 employés représentant une quarantaine de pays qui sont les premiers à souffrir de la pagaille causée par d’autres », a-t-il conclu.
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