Pour la deuxième fois, après l’édition 2017, un séminaire du Comité exécutif de la FIFA s’est déroulé à Doha entre mardi et jeudi sous la présidence du président Gianni Infantino et président de la Fédération qatarienne de football (QFA) Hamad bin Khalifa bin Ahmed Al-Thani. Etait également présent Ahmad Ahmad, le patron de de la Confédération africaine de football (CAF). Plus de soixante présidents de fédérations notamment d’Asie et d’Afrique étaient également conviés à ce rendez-vous.
De nombreux sujets étaient à l’ordre du jour. Notamment ceux concernant l’avenir des compétitions internationales. Outre l’état d’avancement de l’organisation du Mondial 2022, il a été également question de faire un premier bilan de l’utilisation de l’arbitrage vidéo (VAR) depuis son instauration lors du Mondial 2018 et de sa future utilisation programmée durant le Mondial féminin 2019 en France ainsi que dans Ligues des champions continentales. Pour l’Asie, ce séminaire était également important puisqu’il a permis aux représentants des 18 fédérations présentes à Doha d’échanger leurs points de vue au sujet de l’élection présidentielle de l’AFC qui aura lieu en Malaisie le 6 avril prochain.
Le président Gianni Infantino à rappelé lors de son discours inaugural le sens de ces séminaires instaurés pour la première fois à Paris en 2016 : « Il est primordial pour la FIFA d’encourager un dialogue continu avec toutes nos associations membres afin de mieux comprendre leurs besoins et d’apprendre de leurs expériences diverses. À travers les Sommets exécutifs du football, nous pouvons nous attaquer aux problèmes du football mondial tout en tenant compte des difficultés locales auxquelles sont confrontés les dirigeants des associations membres du monde entier ». A noter que les deux prochaines et dernièress réunions du cycle auront lieu à Marrakech (15-17 janvier 2019) et à Rome (21-23 janvier 2019).
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