Cela fait deux ans que le milieu offensif international larocain Younes Belhanda porte les couleurs de l’immense club stanbouliante, le Galatasaray. Avec bonheur semble-il. Donné partant pour l’Arabie Saoudite l’hiver dernier, l’ancien joueur de Montpelier est finalement resté. Et il a bien fait, puisqu’il a remporté le doublé coupe-championnat. Le deuxième du club en quatre ans.
Du coup, il n’est plus certain de quitter es rives du Bosphore. Dans un entretien accordé quotidien régional français Le Midi Libre, il décrit ce qui l’a le plus impressionné, en l’occurence le Classico Galatasaray- Fenerbahçe: : » Cest le derby le plus tendu et attendu, bien plus que ceux contre Besiktas ou Basaksehir, s’est enthousiasmé celui qui a pourtant passé une saison en Bundesliga, entre ces deux clubs ennemis, il n’y a aucune retenue. Il existe un litige historique entre Galatasaray et Fenerbahce qui se perpétue à travers les saisons. Cela fait tout le charme de ces matches-là. Le derby entre Galatasaray, sur la rive européenne, et Fenerbahce, sur la rive asiatique, symbolise en quelque sorte cette ville hors-norme. À Istanbul, c’est comme s’il y avait deux villes différentes, deux cultures différentes. Et paradoxalement, les deux populations se mélangent très bien ».
Et puis, Belhanda de finir sur cet aveu édifiant En Turquie, les gens sont amoureux du foot à un degré que je n’ai jamais connu. On a l’impression que quand le football va bien pour eux, leur vie aussi. C’st pareil au Maroc. A l’évidence tous les Maghrébins qui ont évolué en Turquie et particulièrement au Galatasaray, à l’image du Fennec Sofiane Feghoul, rapportent le même récit.
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