Comme tous ceux qui étaient devant leur écran, pour suivre le match Uruguay-Arabie Saoudite, le sélectionneur des Faucons Verts a retenu le même enseignenemt. L’Iran a progresse dans le jeu, tenu sur le plan défensif mais a confirmé son inefficacité offensive.
Pas un but inscrit. Face à l’Uruguay on avait l’impression que les Saoudiens auraient pu jouer des heures sans conclure : « Nous avions beaucoup de possession de balle et nous étions capables d’imposer notre style de jeu,a confié Juan Antonio Pizzi en conférence de presse, nous avons concédé un but aléatoire et nous n’avions pas les armes ou les outils pour égaliser. Nous avons bien conservé le ballon et nous n’avons pas vraiment été inquiétés sur le plan défensif, mais nous n’avions pas la capacité de marquer ».
Terrible constat. « C’est notre faiblesse, reconnait-il, nous avons une bonne possession de balle, mais pas d’efficacité. Nous manquons de la profondeur et de la compétence requises pour gagner ces matches. Nous avons cette déficience et avons cherché des solutions, mais nous n’en avons pas encore trouvé une ».
Mais l’Argentin semble conclure en expliquant que ce n’est pas un al propre à l’Arabie Saoudite : » C »est l’une des raisons pour lesquelles les grands attaquants sont très demandés et sont les vrais joueurs d’élite du football mondial ». Les centres de formation saoudiens savent donc dans quelle direction ils vont devoir multiplier les efforts.
@Cheikh Mabele