Samir Nasri est presque entrée dans une semi-retraite . En effet, après une saison quasi blanche causé par les blessures sous les couleurs d’Anderlecht, le Franco-Algérien ne sera pas retenu par les Mauves et, à 34 ans, il n’est pas certain qu’il pusse trouver un point de chute digne de son palmarès. Mais hors du terrain, l’ancien internerions français garde la pêche et ne manque pas de donner son avis sur tous les sujets. L’équipe de France et son sélectionneur Didier Deschamps en sont un.
Sur le Basque,, le technicien pas l’homme, précise-t-il, sa religion semble être faite depuis longtemps : » Je préfère le dire et mettre les choses au clair, a-t-il confié dans un live avec l’éditorialiste Walid Acherchour, . Je n’ai rien contre lui, rien du tout. Je respecte le joueur, l’entraîneur. J’ai le droit de ne pas aimer sa façon de jouer. Je pense qu’avec le talent qu’il y a, l’équipe de France devrait mieux jouer. Ce n’est pas une critique envers lui. Je m’en fous. Il n’a pas voulu me prendre pour la Coupe du monde, j’ai décidé de prendre ma retraite. Au moins, je suis parti avec ma dignité, plutôt que de faire le forceur. Ils ont été champions du monde en 2018, je suis très content pour eux. Je ne suis pas envieux, ni jaloux. Il a gagné partout où il est passé, il faut respecter ça. Je m’identifie plus à Blanc, Guardiola, Sampaoli, Bielsa, Wenger, plutôt qu’à quelqu’un de pragmatique comme Deschamps. »La dernière sortie médiatique de l’ancien joueur d’Arsenal et de Manchester City sur ce thème remonte au 21 avril dernier (http://www.2022mag.com/france-ce-que-nasri-na-toujours-pas-compris/ ).
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