Entré 25 minutes après la pause pour remplacer Bouanani, le jeune attaquant algérien de NIce, Bilal Brahimi, a fait un bien fou à son équipe dans un match contre l’AC Ajaccio qui sentait le piège. Menant par un but à la mi-temps signé, les Aiglons n’étaient pas à l’abri d’un sursaut de la formation corse réputé pour sa combativité.
En inscirvant deux buts, et quels buts, deux enroulés magiques qui ont bien nettoyé la lucarne de, le natif de Paris confrme qu’il pourrait être plus qu’un joker dans une équipe enfin redevenue ambitieuse en alignant cnq succès en six matches consécutifs.
Rappelons que Bilal Brahimi avait été celui qui avait enterré les espoirs marseillais dimanche dernier dans un Vélodrome rempli à craquer avec le but somptueux du 3 à 1. La montée en puissance de l’ancien joueur d’Angers fait penser, côté algérien, à celle de son compatriote Riyad Mahrez au mitan des années 2010.
Naturellement, à la fin de Nice-Ajaccio (3-0), le Fennec était ravi tout en restant sobre dans ses commentaires: « Ouais je suis content, j’espère que ça va continuer comme ça. Mon plus beau but ce soir ? Je pense que c’est le deuxième. J’ai entendu le coach dire juste avant la frappe « Tire ! Tire ! J’ai donc fait en sorte de tirer et c’est rentré, je suis content (sourire). Ajaccio ? C’était compliqué mais à la fin du match, ça s’est ouvert et on a fait en sorte de marquer. Est-ce que j’ai bien fait de rester ? Ouais finalement, je peux dire merci à Nico (Pépé) de ne pas être parti ».
Quand on pense que le 30 janvier au soir, l’OCG Nice était en train de finaliser le transfert sous la foremd ‘un prêt sansoption d’achat de sa pépite à Troyes.. Le destin tient parfois à rien. En ce qui concerne Bilal Brahimi, c’est la blessure de l’attaquant vedette Nicolas Pépé qui a fait changer le projet des dirigeants varois.
@Fayçal CHEHAT