L’ES Tunis, quadruple championne d’Afrique, habituée du dernier carré, est tombée de haut vendredi dernier. Après avoir pensé que l’essentiel avait été fait lors du quart de finale aller de la LDC en ramenant un match nul d’Alger sans encaisser de but, les Tunisois se sotn fait surprendre par une très solide et efficace formation de l’ES Séif (0-1).
L’entraineur de l’Espérance ne s’est pas défilé à l’issue de l’élimination en relevant les lacunes de son équipe. UN problème mental d’abords “Nous regrettons l’élimination, a confié Radhi Jaidi, nous avons raté la première manche disputée à Alger alors que nous étions en mesure de réaliser une large victoire. Aujourd’hui, l’équipe n’était pas dans un bon jour et il nous a fallu toute une mi-temps pour pourvoir enfin entrer dans le match ».
La défaillance offfensive, ensuite. Malgré les efforts consentis et le travail accomplie en seconde période couronné par d’innombrables occasions, l’inefficacité offensive a eu encore raison du groupe.L’absence du marocain Sanir Bougrine a, également, influé sur le rendement offensive, ce qui explique l’entame relativement lente. Je crois que le problème est surtout psychologique et mental, en dépit du volume de jeu développé en deuxième mi-temps et du changement de schéma tactique opéré. Nous sommes conscients des lacunes dont souffre l’Espérance au niveau technique et de l’effectif, ce qui nous poussent à travailler davantage pour rectifier le tir. » Pour le géant du football tunisien, il ne reste plus que le titre national a gagner une sicième fois consécutivement pour sauver la saison et se donner la possiblité de participer à la prochiane édtion de la Ligue des champions.
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