Si au niveau des résultats cela à l’air de bien se passer puisque que l’équipe occupe la deuxième place de la Botola à deux points du WAC, dans les coulisses du Raja Casablanca et de sa direction le flou reste total. La gestion du président Saïd Hasbane est plus que jamais contestée. un contestation alimentée par des membres du bureau dont les déclarations sont souvent démenties par les faits. Comme le montre la sortie musclée de l’entraîneur à propos du non règlement des salaires et primes : » Dorénavant, je ne vais plus me taire, a pesté M’hamed Fakhir dans une déclaration à la radio nationale relayée par le quotidien Le Matin, je ne peux plus supporter les provocations du secrétaire général du club et de son trésorier qui déclarent à chaque fois que nous travaillons dans de bonnes conditions, alors que ce n’est pas vrai. Les deux ont véhiculé de fausses informations en soutenant que le club avait réglé une grande partie des arriérés des joueurs et du staff technique, alors que ce n’est pas le cas. Je vous assure que le staff technique n’a pas perçu de salaire depuis trois mois, de même que les primes de 10 matchs». L’ancien sélectionneur de l’équipe nationale des locaux (2014-2016) a fini par lancer à la cantonade qu’il ne voulait plus jouer le rôle « assistant social et de psychologue ». Le fil qui maintient un peu l’équilibre tiendra-t-il jusqu’au 7 avril,date de l’assemblée générale extraordinaire ?
@Cheikh Mabele