Il a bien changé le Zinedine Zidane au calme olympien et à la zenitude affichée, sauf lors de la finale du Mondial 2006. Mardi soir, dans un stade Santiago Bernabeu plein comme un oeuf et bouillant comme une marmite placée depuis des heures sur le feu, l’entraîneur du Real Madrid a fendu l’armure, suivant avec passion, et pas à pas, les progrès de ses Merengue vers la qualification jusqu’à la rupture des coutures de… son pantalon. A la 76ème minute, lorsque Christiano Ronaldo marque un troisième but synonyme de qualification et de délivrance. Alors tout le monde a compris. Oui, Zizou est bel et bien un Méditerranéen à la fougue chevillée au corps…
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