Du temps de la Yougoslavie, Srečko Katanec était une star internationale. Il avait alors disputé la Coupe du monde, les Jeux olympiques et la Coupe d’Europe des nations.Après la partition du pays, il a porté les couleurs de la Slovénie dont il est citoyen aujourd’hui. Devenu entraîneur, il a roulé sa bosse dans la planète football et s’apprête à disputer sa première Coupe d’Asie des nations avec l’Irak dont il n’a pris les rênes que depuis le mois d’août 2018.
Prudent et sans doute aussi réaliste, il n’a qu’une certitude: son groupe, qui a du talent, fera le maximum pour aller le plus loin possible. Mais hormis la chance et la bonne volonté, Katanec montre aussi du doigt la qualité des prétendants au titre : » Beaucoup de gens et même des journalistes me demandent si l’Irak va gagner la Coup, a-t-il développé dans un long entretien publié sur le site de la confédération asiatique, afc.com, et ce que je peux dire, c’est que je suis ici pour faire de mon mieux. A propos des résultats ? Ça dépend de beaucoup de choses. La chance aussi est très importante. On ne sait jamais comment certains jeunes joueurs réagiront à certaines situations. C’est un jeu de pression. Parfois, les joueurs du banc s’avèrent plus importants que les joueurs qui commencent la partie »?
Cela dit, l’Irak qui a montré de belles choses dans la phase de préparation peut envisager d’aller au moins en quarts de finale. En effet, dans le groupe D, l‘Iran sera leur véritable concurrent. Sans faire injure à ces deux équipes le Yémen et le Vietnam sans à la portée des coéquipiers de
@Cheikh Mabele
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