Les Emirats arabes unis ont été tenus en échec à domicile par le Liban (0-0) au coeur de la semaine passée dans le cadre de la pemière journée du troisème tour des éliminatoires du Mondial 2022. C’est clairement une contreprformance pour une sélection qui a fait une priorité de sa présence à Doha dans quinze mois .Néanmoins, du côté de Dubai, la consigne est claire : il n’est pas question de se laisser gagner par la panique.
Le sélecionneur a été le premier à affimer qu’il n’y avait pas le feu à la maison en rappelant le contexte du match: « Nous avons joué de la même manière que nous avons joué lors des quatre derniers matches du deuxième tour des éliminatoires, a confié Bert Van Marwijk en conférence de presse, cependant, nous n’avons montré que 10% de notre potentiel alors que nous avions une possession du ballon à hauteur de 70%. Il faut dire que l’héroïsme du gardien libanais nous a empêchés de marquer. Nous avons encore une grande chance d’atteindre la Coupe du monde, car nous n’avons pas perdu. Nous avons concédé un nul que dans l’un des 10 matches que nous allons disputer dans ce tour final. Ce n’est qu’un match même si j’espérais bien sûr commencer par une victoire. Nous avons encore beaucoup de matches et le résultat d’aujourd’hui ne devrait pas affecter nos chances de nous qualifier ».
Toutefois, ce discours du technicien néerlandais empreint de sérénité et d’optimisme pourrait devenir caduc si jamais ses protégés devaient encore perdre des points mardi à Amman face à la Syrie . L’ancen sélectionneur des Pays-Bas finalistes du Mondial 2010 n’a plus qu’à espérer que sa division offensive, noamment Ali Mabkhout et Caio Canedo entre autres, retrouve la belle efficacité (15 buts) dont elle a su faire preuve lors du deuximèe tour. Dans ce groupe A très dense, l‘Iran, qui a déjà placé ses pions en étant la seule à s’imposer (face à la Syrie, 1-0) lors de ce premier round, pourrait creuser le fossé en cas de succès devant l’Irak qui évoluera sur un terrain neutre ( Doha).
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