L’ UEFA met les pieds dans le plat pour apporter son soutien femmes qui vivent dans des pays où l’accè aux stades est limité quand il ne leur est pas formellement interdit. C’est la position préconisée par le président de l ‘UEFA, le Slovène Alekxander Ceferin.
» D’après nos informations, il y a deux pays dans le monde qui interdisent aux femmes et aux filles d’aller voir des matches de football au stade, a confié le patron de l’institution faîtière du football européen, nous ne pouvons pas intervenir directement, cela ne relève pas de notre juridiction, mais de celle de la FIFA, Ceci étant, on ne peut pas rester silencieux et simplement dire que l’on développe le football européen. Notre conseil aux 55 associations membres de l’UEFA était le suivant : ne jouez pas contre des équipes qui viennent de ces pays où les droits basiques des femmes ne sont pas respectés. Les représentants des clubs et des championnats étaient d’accord avec nous ».
Officiellement, ils ne sont que deux pays à avoie inscrit cette interdiction dans les textes législatifs. l En l’occurrence l’Arabie Saoudite et l‘Iran. Mais en réalité, dans un grand nombre de pays la pression sociale, culturelle et religieuse est tellement pouissante que la mixité sportive reste un doux et inaccessible rêve. Il faut rappeler le ramdam médiatique provoqué la Super Coupe d’Italie entre la Juventus et le Milan AC disputée à Jeddah en Arabie Saoudite le 16 janvier 2019. Tout comme l’immolation par le feu de « La jeune fille en bleu », c’est le surnom donné à Sahar Khodayari, une supportée iranienne d’Esteghlal un club de première division iranienne qui évolue en bleu. D’où ce surnom., Âgée de 30 ans, Sahar Khodayari a choisi de s’immoler par le feu devant un tribunal de Téhéran le 9 septembre dernier pour protester contre sa condamnation à six mois de prison pour avoir osé entrer dans dans un stade de la capitale.
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