Depuis que le directeur technique du club Bernard Simondi est apparu aux séances d’entraînement de l’USM Alger la rumeur d’une prochaine fin de mission du coach en chef Miloud Hamdi n’a cessé d’enfler. Le principal concerné a décidé d’y mettre le holà en organisant un point presse “ Le DTS est à mon service, et c’est aussi le cas de tous les membres du staff. L’entraîneur numéro un, c’est moi, a tranché celui qui a réussi a mener l’USM Alger à sa première finale de Champions League, si je l’ai fait venir, c’est juste pour quelques petits trucs, c’est tout, il n’y a rien d’autre. Les gens racontent n’importe quoi. C’est moi qui lui ai demandé de venir, il n’y a rien d’autre. Dans la vie, il faut être modeste. Je pense qu’il n’y a aucun mal à ce qu’un entraîneur demande qu’on l’aide“. A l’évidence ulcéré d’être soupçonné d’avoir des lacunes tactiques, Hamdi remet les choses à l’endroit : » Simondi ne vient pas m’aider tactiquement, c’est moi le technicien, c’est moi l’entraîneur et je mets mes trucs en place. Je mets ma philosophie de jeu en place. Mais ce n’est pas parce que je lui demande d’intervenir sur deux ou trois points que ça y est, c’est la fin du monde, non ! ». Cela dit, le situation d’un entraîneur dont l’équipe caracole en tête de la Ligue 1 avec huit points d’avance sur son dauphin auquel on impose la présence d’un autre entraîneur confirmé ne doit pas être facile à vivre. Et peut être lourde de menace. La récente histoire Rolland Courbis – Philippe Montanier à Rennes ne vous dit rien ?
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