A peine en place et déjà très contesté… Le technicien tunisien Mehdi Nafti, qui est arrivé sur le banc du Wydad début janvier, paraît très menacé.
Battu le week-end dernier lors de la J2 de la Ligue des champions d’Afrique par la JS Kabylie à Alger (1-0), le coach des champions continentaux en titre est dans le collimateur de son président Saïd Naciri.
Nommé en début d’année pour succéder à Lhoussine Ammouta, lui-même parti en novembre 2022 alors qu’il avait succédé en août à Walid Regragui, Nafti n’a pas vraiment convaincu en l’espace d’un mois et demi.
Le WAC n’a plus gagné -dans le jeu- un match depuis le 25 janvier (c’était contre le MAS de Fès 1-0) soit quatre rencontres. Et il occupe la 3e place de la Botola.
Après un nul contre le FUS en championnat, il a été éliminé dès son entrée dans la CDM des clubs par le Hilal saoudien aux tirs au but.
Il s’est ensuite qualifié sans gloire (aux TAB) contre le MA Tétouan en Coupe du Trône avant de succomber devant la JS Kabylie en interclubs continentales.
D’ores et déjà, et si l’on en croit nos confrères du Matin du Sahara, le WAC a coché quelques noms : Patrice Carteron (ex-Raja), Rachid Taoussi également.
Mieux, l’Egyptien Hossam Al-Badri (ex-Ahly) lui aurait formulé une offre directe services selon le site bahreini Kooora.
Une défaite ce mardi soir contre le DH El-Jadida en championnat pourrait bien marquer la fin de la collaboration de l’ancien vainqueur de la CAN 2004 avec le WAC...
@Cheikh Mabele