Le moins que l’on puisse dire est que Jesulado Ferreira n’est pas gâté au Caire.A peine a-til posé ses valises que son Zamalek quitte la scène de la Ligue des champions par la petite porte. Même personne ne peut légitiment lui faire porter le chapeau au sujet de cette catastrophe annoncée en réalité sous le régne du Français Patrice Carteron.
Conscient de la déprime qui a gagné les dirigeants et le fans des Chevaliers Blancs, le Portugais à tenu dimanche un discours positif tout en reocnnaissant que la tache s’annonce ardue: « Je souhaite dire que je suis content de mon retour à Zamalek, a-t-il confié en conférence de presse, et je promets de répéter les mêmes exploits que j’ai fait avec l’équipe lors de mon premier passage. Je n’ai jamais pensé que je reviendrais à Zamalek après une carrière d’entraîneur de 47 ans, mais j’ai accepté l’offre parce que j’aime assumer des missions difficiles ».
L’ancien entraîneur du FC Porto et du Sporting Lisbonne va s’attacher d’anord à faire un résulat lors des deux derniers matches du groupe D contre les deux repésentants du football angolais Petro Luanda et Sagrada Espérança , histoirre d’éviter la cuillère de bois.Puis de se concentrer sur la Premier League, son pain quotidien:: « Nous devons travailler dur et arrêter de parler des points négatifs, a-t-il ajouté, nous visons à remporter le titre de Premier League égyptienne et la Coupe d’Egypte également pour nous qualifier pour la prochaine saison de la Ligue des champions de la CAF ». En clair, Ferreira compte faire aussi bien que lors de sa première expérience quand il avait mené son équipe vers le doublé au nez et à la barbe de son frère-ennemi éternel, Al-Ahly
@Cheikh Mabele